Une étonnante perspective musicale méconnue en France et qui montre la mixité entre tonalité et expérimentation contemporaine. Mais la lisibilité de cette musique est particulièrement claire. Elle se rapproche de Rachmaninnov, et de Scriabine. Nous sommes en 1969.
Une étonnante perspective musicale méconnue en France et qui montre la mixité entre tonalité et expérimentation contemporaine. Mais la lisibilité de cette musique est particulièrement claire. Elle se rapproche de Rachmaninnov, et de Scriabine. Nous sommes en 1969.
Incontestablement la reprise de chants orthodoxes, et l'inspiration grégorienne. La fascination spiritualiste de Paert s'inscrit dans une tradition quasi médiévaliste.
En 1971 La Symphonie n°3 est une œuvre pour orchestre écrite par Arvo Pärt, compositeur estonien associé au mouvement de musique minimaliste. Il abandonne en 1978 l'école sérielle pour s'inscrire dans le mouvement minimaliste. Cette symphonie par certains côtés ressemble aux oeuvres de certains auteurs du début du 20ème siècle. (Carl Nielsen: Carl August Nielsen (né le 9 juin 1865 en Fionie près d' Odense - mort le 3 octobre 1931 à Copenhague) est le plus connu des compositeurs danois. Sa renommée, bien établie au Danemark, est toutefois sans commune mesure, sur le plan international, avec celle des compositeurs scandinaves Edvard Grieg et Jean Sibelius.
Il y a quelques similitudes entre les symphonies de Nielsen et de Paert: comparér entre la symphonie inextingible çi dessus avec la symphonie n° de Paert publiée çi dessous.
Mein Weg (en français : « Mon chemin ») est une œuvre pour orgue ou pour un ensemble à cordes et percussions du compositeur estonien Arvo Pärt associé au mouvement de musique minimaliste. Il a été composée en 1989 et complétée en 1999.
Cette œuvre est une commande au compositeur du Festival d'orgue de Pargas en Finlande. Elle est dédicacée au chef d'orchestre Andreas Peer Kähler et à l'orchestre de chambre d'Unter den Linden. Elle a été composée par Pärt en 1989 mais prit dix ans pour être complétée, puis révisée en 2000. À l'origine elle était écrite pour orgue puis révisée pour un ensemble à 14 cordes et percussion. Cette dernière version fut créée le 2 juillet 1999 par l'Arco Musicale dirigé par Michael Fendre.
L'œuvre trouve sa source d'inspiration dans un poème du Le Livre des Questions d'Edmond Jabès.
Etonnantes symphonies du XXème siècle: Le grand compositeur suédois est sans doute le plus grand compositeur contemporain.
Pour que sa musique soit reconnue, il fallait à Allan Pettersson vaincre deux obstacles.
Le premier était l'appréhension du public envers des œuvres émotionnellement et socialement "engagées", parfois physiquement éprouvantes par leur agressivité et leur longueur. Cette dernière difficulté ne vaut pas pour toutes ses œuvres, mais la symphonie n°13 de 1976 (67' dans la version d'Alun Francis) ou le concerto pour violon n°2 de 1977 (56' dans la version Haendel/Blomstedt) sont des chefs-d'œuvre qui représentent des défis marathoniens pour les interprètes, et qui exigent une participation active de l'auditeur.
Le second obstacle fut le scepticisme de la critique musicale d'après-guerre pour le recours au genre symphonique, grande forme que chacun s'accordait à penser comme définitivement morte depuis la deuxième guerre mondiale. Cinquante ans plus tard, la quasi-disparition des dogmatismes dans la société occidentale semble devoir apporter à l'œuvre d'Allan Pettersson une rémission salutaire.
http://musicinwords.free.fr/apvie.htm
La citation la plus fréquemment reprise par les biographes du compositeur s'applique également de très près à la Septième Symphonie, œuvre de lutte et de chant : "L'œuvre à laquelle je travaille est ma propre vie, celle qui est bénie, celle qui est maudite : je m'y abandonne afin de retrouver le chant que l'âme a chanté autrefois".
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